Yann Siccardi désigné comme porte-drapeau
Pour sa troisième participation aux JO, après Londres et Pékin, Yann Siccardi a été désigné comme porte-drapeau. Même s'il entrera en compétition dès le lendemain de la cérémonie d'ouverture et qu'il devra gérer ces deux échéances rapprochées, le judoka âgé de 30 ans apprécie cet honneur :
"C'est une responsabilité. Quand tu réprésentes ton pays de cette manière, les gens associent ton attitude à ce pays."
Pour le sociétaire du Judo club de Monaco, le rendez-vous olympique est aussi l'occasion de s'extraire de l'anonymat, à son échelle.
"On est un peu sous les projecteurs, les gens viennent nous parler. Pour nous, c'est un peu le seul moment où le monde extérieur s'intéresse à ce qu'on fait. Habituellement, quand je fais des championnats d'Europe ou du monde, à part le monde du judo et mon entraîneur, personne n'est vraiment au courant ici."
Battu en huitièmes de finale à Londres par le futur champion olympique des moins de 60 kilos, le Russe Arsen Galstyan, Yann Siccardi jettera toutes ses forces dans la bataille :
"Objectivement, je suis plus fort qu'il y a quatre ans. Mais il ne faut pas commencer à se demander si on est meilleur ou moins bon que les autres. Tous ceux que je vais affronter, je vais essayer de les battre. C'est tout."
Pour sa troisième participation aux JO, après Londres et Pékin, Yann Siccardi a été désigné comme porte-drapeau. Même s'il entrera en compétition dès le lendemain de la cérémonie d'ouverture et qu'il devra gérer ces deux échéances rapprochées, le judoka âgé de 30 ans apprécie cet honneur :
"C'est une responsabilité. Quand tu réprésentes ton pays de cette manière, les gens associent ton attitude à ce pays."
Pour le sociétaire du Judo club de Monaco, le rendez-vous olympique est aussi l'occasion de s'extraire de l'anonymat, à son échelle.
"On est un peu sous les projecteurs, les gens viennent nous parler. Pour nous, c'est un peu le seul moment où le monde extérieur s'intéresse à ce qu'on fait. Habituellement, quand je fais des championnats d'Europe ou du monde, à part le monde du judo et mon entraîneur, personne n'est vraiment au courant ici."
Battu en huitièmes de finale à Londres par le futur champion olympique des moins de 60 kilos, le Russe Arsen Galstyan, Yann Siccardi jettera toutes ses forces dans la bataille :
"Objectivement, je suis plus fort qu'il y a quatre ans. Mais il ne faut pas commencer à se demander si on est meilleur ou moins bon que les autres. Tous ceux que je vais affronter, je vais essayer de les battre. C'est tout."
|
|
Combat de Yann du 06/08/2016.